الفهرس 
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Abstract
Cette thèse dont le titre est ”La maternité et l’écriture féminine d’Hélène Cixous” vise à traiter un aspect inhabituel de l’écriture féminine qui est la sacralisation de la femme ou plutôt la valorisation de la maternité. La mère qui est la source de peines et d’angoisses chez la plupart des écrivains féministes, elle n’est que la source de joie et de vie chez Cixous.
La thèse est scindée en deux parties dont chacune se subdivise en deux chapitres. La première partie s’intitule ”La sacralisation de la maternité” ; elle s’intéresse à démontrer- tout en s’appropriant son corps de femme, en redéfinissant la maternité et en reconnaissant la mutualité entre mère et fille- la relation mère/fille qui est considérée comme mouvement de continuité qu’au mouvement d’individualité tout en combattant son ennemi leitmotive « la mort » qui est bien expliquée dans le premier chapitre.
Dans le second chapitre, nous jetons la lumière sur la quête et l’auto-défense identitaire afin d’appréhender le mystère de la femme, à cause du déracinement et la persécution vécus lors des anti-sémites.
Ayant pour titre ”La féminité et l’écriture de la perte”, la deuxième partie prend une allure plutôt technique : le premier chapitre se focalise sur les capacités de la féminité dont les théories et le charme féminine s’éclaircissent.
Aussi montrons-nous comment Cixous a eu recours à l’écriture de la perte afin d’exprimer le sentiment indéniable de la perte qui hantise son esprit.
Pour le second chapitre, nous scellons les mécanismes de défense compatibles sur lesquels Cixous se soutient et qui se limite sur la
sublimation qui accentue la valorisation de la femme et l’originalité de Cixous par l’utilisation des signifiants explicites et implicites afin de désigner ses idées à travers l’art du dévoilement.
Nous clôturons notre travail par une brève conclusion qui montre la relation entre la maternité et l’écriture féminine qui sont face et revers d’une monnaie