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Abstract
Dans notre étude, nous aimons attirer l’attention sur des textes qui nous semble particulièrement représentifs d’une image réelle de ce qui est propre aux marginaux égyptiens. À travers la description des pauvres marginaux, les analyses que nous avons essayé d’entreprendre dans les chapitres précédents ne sont pas indépendantes les unes des autres. Complémentaires elles avaient constitué un approfondissement progressif vers la représentation totale de l’image des marginaux dans les travaux d’Albert Cossery.
En cherchant un changement, voilà comment Cossery a pu produire l’image du petit peuple Égyptien qu’il avait pourtant quitté une cinquantaine d’années auparavant.
Il a bien réussi de passer de la critique de l’autre ou de critiquer la fainéantise chez les marginaux à la critique de soi dans Fainéants dans la vallée fertile voici dans ce roman le romancier nous raconte qu’il est un fils d’un père préfère de vivre en isolement sans travailler ou sans porter bénéfice à la société.
Cossery a réussi de justifie la pauvreté du petit peuple :- le fatalisme, la paresse ou la nonchalance représentent des valeurs passives leur permettent de demeurer dans la misère.
Cossery et d’autres écrivains se considèrent révolutionnaires. Selon Touriy Fili-Tullon ”les écrivains contemporains font partie de cette mouvement intellectuelle, nourrie par les idées d’une révolution plus intellectuelle que politique.” (1)
Lorsque Cossery parle du peuple Égyptien, il nous analyse avec simplicité un mode de la vie très pauvre. Examinons de plus près la situation des habitants de La Maison de la mort certaine devant la catastrophe de l’effondrement de leur logement, ils logent dans une maison très ancienne. Voire ces miséreux ne trouvent pas ce qui est nécessaire pour vivre. On avait déduit que dans cette société, seuls les gens riches qui possèdent la possibilité de vivre dans le luxe. Ils ne peuvent être pas que des hommes de rang social très bas. Les travaux de Cossery mettent en scènes des personnages principaux marginaux. Parmi ces pauvres on se trouve devant quelques contradictions, les détrousseurs et les honnêtes, les fous et les sages, les riches et les pauvres. En tout cas l’écrivain a pu les décrire d’être paresseux l’auteur explique dans son roman, jusqu’à quel point les marginaux Égyptiens vivent dans l’inertie examinons un exemple tiré de Fainéants dans la vallée fertile” Rafik n’avait pas bougé il se sentait en sécurité dans cette chambre et ne songeait qu’à dormir. Le silence qui avait suivi les imprécations d’Imtissal lui semblait propice au sommeil.”(1)
Revenons Aux Hommes oubliés de Dieu ce roman met en scène l’humanité insouciante aussi entièrement désintéressées. Malgré la misère, en cherchant la paix de l’âme les marginaux ont choisi la fainéantise ”maintenant la rue étant relativement calme, on pouvait sommeiller jusqu’à midi.”(2)
Remarquons que le rôle littéraire de l’écrivain est très important que le rôle politique. Le narrateur invite les jeunes à se ramener au travail source de la béatitude et de félicité. Lorsqu’ils parviennent à réagir ; ils atteindront le progrès et la paix intérieure en s’éloignement de l’angoisse et de la souffrance. ”La seule dignité de l’homme, la révolte tenace contre sa condition (...) la seule dignité de l’homme réside dans sa révolte permanente contre lui-même.”(1)
Tout au long de notre travail, nous avons cherché à bien souligner les problèmes envisagés des marginaux. Nous pouvons affirmer que Cossery n’est pas seulement l’un des écrivains les plus important, mais encore l’un des plus sensibles des problèmes sociaux et des plus généreux dans son temps. Vraiment, il occupe une place exceptionnelle parmi les écrivains francophones contemporains. Nous avons vu que sa carrière littéraire est féconde et originale.
L’attitude satirique du romancier se montre son engagement auprès d’un peuple opprimé et exilé dans leur société. La description du petit peuple avait donné à sa vie la signification plus noble :- de vivre dans l’oppression en endurant la grande souffrance avaient conduit les marginaux à désirer la mort avant mourir.
Vient le rôle d’Albert Cossery, ce personnage souhaite que l’Égyptien, dans le monde entier sera respecté, parce qu’il a des droits dans sa société. Il n’est pas à négliger que Cossery nous montre à travers son oeuvre l’utilisation des dialogues :-casser l’unité de l’action et l’unité du style, en pratiquant avec réussite le discours directe libre.
L’arabesque Cossérienne outre le choix de la marginalité chez le peuple égyptien nous pousse de faire preuve de l’incapacité de ces miséreux à survivre.
À travers une culture occidentale (la langue française), l’écrivain bilingue avait donné comme preuve qu’il est capable de montrer la souffrance des marginaux. De cela nous remarquons que la langue française joue un rôle majeur dans le champ littéraire francophone. En fait la langue française représente pour Cossery un miroir pour transmettre ce qui se passe dans le monde arabe. En ajoutant que Cossery n’oublie pas nous décrire comment souffrent les marginaux dans une atmosphère très sévère.
Pour montrer les douleurs des pauvres, on a vu que les sept romans de Cossery se déroule en hiver. Les vêtements des protagonistes sont toujours déchirés, au froid. Dans cette période de l’année ils souffrent de la maladie et de la pauvreté. Autre l’environnement de ces pauvres miséreux n’était pas loin de la marginalité. Les misérables marginaux sont laissés dans une maison très ancienne. Vient ici le rôle de la coopération. Cossery nous peint une image réelle de la coopération. Tandis que cette coopération ne se réalise entre les protagonistes d’Albert Cosser ils font appel au secours le propriétaire de cette maison ancienne. Ce qui augmente la souffrance ces marginaux se trouvent abandonnés de la part du gouvernement. Comme nous avons vu dans l’oeuvre romanesque de l’écrivain, le pouvoir ne s’intéresse jamais aux douleurs des pauvres. Ainsi que nous avons vu, dans la coopération le remède le plus efficace aux malaises de cette société. Il est nécessaire donc que les riches et l’état soient pleins d’affection à l’égard des autres opprimés. Nous souhaitons que la lutte contre la marginalité devienne l’affaire de tout homme, en Égypte ?
Albert Cossery dans ses livres ne cesse pas de dénoncer la société égyptienne. Nous pouvons déduire que malgré l’existence de tous facteurs de la réussite en Égypte, ils n’avaient pas pu profiter des circonstances convenables existantes dans cette patrie telle l’atmosphère modérée, les chances du travail.
On a déduit que à travers les livres de Cossery rien fait la joie des marginaux que l’indolence ou de rester sans changement. L’auteur exprime cet esprit léger et rieur par l’humour. Aussi dénonce-t-il cette forme de la plaisanterie à travers l’ironie. Il utilise la dérision comme une arme contre cette attitude passive. Nous n’occupons pas ici de la dérision comme un genre littéraire mais nous voulons montrer que l’écrivain a voulu indiquer comme coupables les marginaux égyptiens. Ils avaient dû chercher les solutions de leur souffrance. Dans notre étude, nous voulons faire connaître, à travers l’oeuvre de Cossery, les Égyptiens les principales manifestations de leurs caractères. Outre Cossery nous ont peint dans les personnages les attitudes humaines à l’égard de la pauvreté. Le romancier avait pu décrire dans ses romans les tourments de l’état d’âme. À cause de leur renonciation aux principes tels, le travail ou la vivacité, ils ne sont pas parvenus au confort perpétuel. À notre avis la souffrance et le manque du confort est remédiable puisque l’homme lutte contre les obstacles et essaie de parvenir à la richesse.
Être obtenu un nombre presque illimité des pauvres marginaux, les hommes les femmes, les vieillards, la présente analyse de l’image des marginaux dans L’OEuvre de Cossery a un double objectif :- examiner les causes de la souffrance chez les pauvres à travers deux côtés le despotisme du gouvernement et l’égoïsme des classes. Bref, pour bien situer ces analyses dans leur contexte, il importe de considérer la place accordée à ces miséreux. En soulignant les idées essentielles de Cossery, il paraît évident que les marginaux se sentent incapables de survivre dans une société mal équilibrée. Ils ne jouissent ni d’avantages économiques ni sociaux. En quête d’un environnement naturel ou d’un milieu de vie particulier, les balayeurs, dans les hommes oubliées de Dieu, se révoltent en espérant d’accéder un style de vie qu’ils privilégient.
Ce qui implique que nous devons saisir la marginalité dans son aspect global ou socio-économique. Dans l’espérance que les exprime cet esprit léger et rieur par l’humour. Aussi dénonce-t-il cette forme de la plaisanterie à travers l’ironie. Il utilise la dérision comme une arme contre cette attitude passive. Nous n’occupons pas ici de la dérision comme un genre littéraire mais nous voulons montrer que l’écrivain a voulu indiquer comme coupables les marginaux égyptiens. Ils avaient dû chercher les solutions de leur souffrance. Dans notre étude, nous voulons faire connaître, à travers l’oeuvre de Cossery, les Égyptiens les principales manifestations de leurs caractères. Outre Cossery nous ont peint dans les personnages les attitudes humaines à l’égard de la pauvreté. Le romancier avait pu décrire dans ses romans les tourments de l’état d’âme. À cause de leur renonciation aux principes tels, le travail ou la vivacité, ils ne sont pas parvenus au confort perpétuel. À notre avis la souffrance et le manque du confort est remédiable puisque l’homme lutte contre les obstacles et essaie de parvenir à la richesse.
Être obtenu un nombre presque illimité des pauvres marginaux, les hommes les femmes, les vieillards, la présente analyse de l’image des marginaux dans L’OEuvre de Cossery a un double objectif :- examiner les causes de la souffrance chez les pauvres à travers deux côtés le despotisme du gouvernement et l’égoïsme des classes. Bref, pour bien situer ces analyses dans leur contexte, il importe de considérer la place accordée à ces miséreux. En soulignant les idées essentielles de Cossery, il paraît évident que les marginaux se sentent incapables de survivre dans une société mal équilibrée. Ils ne jouissent ni d’avantages économiques ni sociaux. En quête d’un environnement naturel ou d’un milieu de vie particulier, les balayeurs, dans les hommes oubliées de Dieu, se révoltent en espérant d’accéder un style de vie qu’ils privilégient.
Ce qui implique que nous devons saisir la marginalité dans son aspect global ou socio-économique. Dans l’espérance que les approfondies.
Certes notre travail n’est pas parfait en tous ses points. Mais Condorcet nous apprend que ”L’homme est perfectible et que pour atteindre la réussite, il faut passer d’abord par l’erreur.” (1)