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Abstract La présente recherche s’inscrit dans le cadre de l’analytique de la traduction. Elle consiste essentiellement à analyser les deux traductions de manière à relever les aspects différents de cette identité à travers l’optique de Richard Jacquemond. La conjoncture traductologique est donc propice à ce genre d’étude étant donné que Jacquemond était influencé par cette discipline autonome, une science qui prend en considération plusieurs domaines pour l’étude de la traduction. A ce stade nous nous sommes référée à plusieurs ouvrages de traductologues qui prennent cette nouvelle science en considération notamment les ouvrages d’Antoine Berman, de Danica Seleskovitch, de Ladmiral, de Meshonnic et de Michel Ballard. Le choix de la traductologie pour aborder ces deux essais est un choix - 22 - intéressant puisqu’il permettra de recourir à des approches qui s’attachent à rendre aussi bien la culture que la langue et pas uniquement se limiter aux opérations mathématiques linguistiques. En guise de conclusion, nous allons résumer les différents chapitres en soulignant le résultat de notre recherche. Nous porterons l’accent surtout sur la nouvelle optique de Jacquemond en démontrant qu’il est le plus apte à approcher le texte pour donner «une perception moins aliénante pour lui et pour soi de l’étranger». Ainsi nous sera-t-il permis dans cette étude de relever le souci de l’identité du texte dans les traductions de Richard Jacquemond. |